FAM'- Bijoux-Déco,
Artisan-Créateur
FAM’, créatrice de bijoux et objets de décoration, vit dans le Calvados. Elle travaille le métal, transforme des objets chinés ici ou là et y adjoint des perles de tous matériaux et toutes époques. Et enfin, elle fabrique de la galalithe.
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FAM' - Artisan-créatrice normande. Métal, lait et objets détournés: tout est bon pour fabriquer une création unique dans son atelier de Valambray. Des boucles d'oreilles aux bracelets, en passant par les "bijoux-décos" pour les plantes ou les meubles: fabrication artisanale atypique et originale.
Je m’appelle Fabienne Massieu, d’où le nom tout trouvé de FAM’, association de mon prénom et de mon nom de famille.
Née dans l’Orne, Calvadosienne depuis la fin des années 70, je me suis établie en 1986 dans une ancienne ferme au sud-est de Caen, là où les colombages du Pays d’Auge laissent place à la pierre de Caen, loin du bruit et du train-train effréné de la vie du XXème puis du XXIème siècle. C’est là que sont nées mes premières créations, pendant l’hiver 2004-2005.
Aussi loin que remontent mes souvenirs, j’ai toujours aimé créer, manipuler, bricoler…Suite à un voyage au Brésil, d’où j’avais rapporté des perles et apprêts destinés à fabriquer des porte-clefs, je suis rapidement passé au stade suivant: fabriquer des colliers et des bracelets puis enfin des boucles d’oreilles, le tout avec un matériau de prédilection venu tout naturellement s’adjoindre aux perles du commerce : le métal. Laiton, cuivre et aluminium trouvé dans l’atelier familial : tordu, et transformé au gré de pinces, cisailles et marteaux.
Mon entourage m’a bientôt fait remarquer que ma production devenait tellement importante qu’il était dommage de ne pas en faire profiter les autres, ce fut un pas très difficile à franchir : montrer, exposer, se dévoiler… tout cela n’était pas dans ma nature. C’était à la fois attirant et effrayant. Je vends mes créations sur des salons ou dans des boutiques éphémères depuis le printemps 2006 et j’aime maintenant ces rencontres avec le public: j’aime écouter les réactions des gens qui passent, j’aime écouter leurs questions, échanger avec eux, que ce soit des techniques employées, des matériaux utilisés, de l’origine de telle ou telle partie de l’objet fini ou de la gestation plus ou moins difficile jusqu’à la délivrance.
Peu à peu mes mains m’ont irrésistiblement entraînée vers des créations plus imposantes, et depuis plusieurs années, je fabrique des « bijoux-décorations » d’intérieur ou d’extérieur, le plus souvent réalisées à partir d’objets pré-existants mais où le métal et les perles sont toujours prédominants. Chercher la “perle rare” sur les marchés aux puces, penchant remontant à l’adolescence, est devenu une activité indissociable de mon travail de créatrice. Le détournement ne me fait pas peur, tout comme les associations anachroniques: tout est source de créativité.
Depuis une huitaine d’années, je fabrique de la galalithe. C’est-à-dire que je travaille le lait que je tente de dompter peu à peu pour lui donner une solidité nécessaire au ponçage, perçage et polissage avant de l’insérer dans un bijou ou un objet sorti lui aussi de l’atelier.
Le cuivre et le laiton sont travaillés depuis des siècles en Normandie. Ajoutez à cela le lait : vous vous trouvez face à des produits vraiment normands !
Née dans l’Orne, Calvadosienne depuis la fin des années 70, je me suis établie en 1986 dans une ancienne ferme au sud-est de Caen, là où les colombages du Pays d’Auge laissent place à la pierre de Caen, loin du bruit et du train-train effréné de la vie du XXème puis du XXIème siècle. C’est là que sont nées mes premières créations, pendant l’hiver 2004-2005.
Aussi loin que remontent mes souvenirs, j’ai toujours aimé créer, manipuler, bricoler…Suite à un voyage au Brésil, d’où j’avais rapporté des perles et apprêts destinés à fabriquer des porte-clefs, je suis rapidement passé au stade suivant: fabriquer des colliers et des bracelets puis enfin des boucles d’oreilles, le tout avec un matériau de prédilection venu tout naturellement s’adjoindre aux perles du commerce : le métal. Laiton, cuivre et aluminium trouvé dans l’atelier familial : tordu, et transformé au gré de pinces, cisailles et marteaux.
Mon entourage m’a bientôt fait remarquer que ma production devenait tellement importante qu’il était dommage de ne pas en faire profiter les autres, ce fut un pas très difficile à franchir : montrer, exposer, se dévoiler… tout cela n’était pas dans ma nature. C’était à la fois attirant et effrayant. Je vends mes créations sur des salons ou dans des boutiques éphémères depuis le printemps 2006 et j’aime maintenant ces rencontres avec le public: j’aime écouter les réactions des gens qui passent, j’aime écouter leurs questions, échanger avec eux, que ce soit des techniques employées, des matériaux utilisés, de l’origine de telle ou telle partie de l’objet fini ou de la gestation plus ou moins difficile jusqu’à la délivrance.
Peu à peu mes mains m’ont irrésistiblement entraînée vers des créations plus imposantes, et depuis plusieurs années, je fabrique des « bijoux-décorations » d’intérieur ou d’extérieur, le plus souvent réalisées à partir d’objets pré-existants mais où le métal et les perles sont toujours prédominants. Chercher la “perle rare” sur les marchés aux puces, penchant remontant à l’adolescence, est devenu une activité indissociable de mon travail de créatrice. Le détournement ne me fait pas peur, tout comme les associations anachroniques: tout est source de créativité.
Depuis une huitaine d’années, je fabrique de la galalithe. C’est-à-dire que je travaille le lait que je tente de dompter peu à peu pour lui donner une solidité nécessaire au ponçage, perçage et polissage avant de l’insérer dans un bijou ou un objet sorti lui aussi de l’atelier.
Le cuivre et le laiton sont travaillés depuis des siècles en Normandie. Ajoutez à cela le lait : vous vous trouvez face à des produits vraiment normands !